Le drugstore, pour les gens de ma génération, ce n'est qu'une librairie à cadeaux de noêl et des des ringards de la comm' qui boivent des coca light cachés derrière leurs ray bans aviators. Pour la génération sixties le drugstore c'est beaucoup plus que ça, comme le raconte Patrick Eudeline dans "Rue des martyrs", c'est quasi le centre de gravité des sixties françaises.
A lire sans faute en écoutant la compil' Pop à Paris.
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